CONFINEMENT DU DROIT
Dans le contexte troublé que connaît notre pays, un virus semble affecter aussi notre Etat de droit :
1°) On voit en effet imposer à la population d’extraordinaires contraintes qui sont autant d’atteintes aux libertés publiques fondamentales (comme celle d’aller et de venir, ou, celle du commerce et de l’industrie…). Sans discuter de l’opportunité de telles mesures –qui relève de la seule appréciation des responsables des affaires publiques-, il est permis de s’interroger :
VERS UNE « LOI FESCH » ?
Le Conseil constitutionnel n’allait tout de même pas manquer une nouvelle occasion de se couvrir de ridicule.
(le « gloubi-boulga » de M Thiriez)
Le rapport présenté par l’ex-énarque (honteux ?) Frédéric Thiriez témoigne, en ce qui concerne la justice -sur la toile de fond d’une grossière démagogie que d’aucuns pourraient qualifier d’authentiquement « populiste » dans sa posture qui se veut « anti-élites »-, d’une méconnaissance crasse du B A BA de notre ordre constitutionnel.