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Dernières parutions

  • Conseil Supérieur de la Macronie mardi, 31 janvier 2023
    Jamais, sans doute, les nominations au Conseil Supérieur de la Magistrature (CSM) n’auront suscité autant de polémiques que celles qui viennent d’intervenir. C’est qu’elles témoignent, avec la force tranquille du cynisme, d’une totale absence de vergogne et de la moindre retenue dans la faveur partisane au sein des cercles du…
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  • Le plan (média) de M. Dupond-Moretti vendredi, 06 janvier 2023
    Le ministre de la justice vient d’annoncer les « 60 mesures » de son « plan d’action ». La plupart, en fait, ne sont pas des « scoops » : issues, pour l’essentiel, du rapport des « Etats généraux de la justice », elles avaient déjà été esquissées, notamment à l’occasion de la présentation et de la promotion du…
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  • La politique du bouc émissaire samedi, 24 décembre 2022
    L’agression meurtrière commise, le 23 décembre, à Paris, a été l’occasion, de la part de certains milieux médiatiques et politiques, à une recherche de « boucs émissives » sans la moindre considération des éléments, factuels et juridiques, de la situation :
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la nouvelle association professionnelle des magistrats

              Le suicide d’une jeune magistrate, dont ses collègues évoquent la souffrance au travail,  est le déclencheur d’une réaction de grande ampleur au sein du corps judiciaire, traduite par la signature en masse, inusitée, d’une pétition dénonçant, notamment, des conditions de travail dégradées, le manque chronique de moyens et la pression de gestionnaires obsédés d’affichage statistique.

24 novembre

            Matthieu Valet, secrétaire national adjoint du syndicat indépendant des commissaires de police, a conclu sa tribune publiée dans VALEURS ACTUELLES n° 4433 du 11/17 novembre 2021, par la formule suivante, assassine : « Ne serait-ce pas finalement le système judiciaire qui a perdu l'essence même de sa mission ? »

                C’est dans un parc d’attractions (!) que M. MACRON a lancé hier sa grande opération de communication politique préélectorale sur la Justice, dite pompeusement « Etats généraux de la Justice », annonçant, sur l’air du « ça ira, ça ira », la révolution dans l’institution –qu’il persiste, par dérision et mépris affiché à appeler « service public de la justice », en oubliant qu’il s’agit d’une autorité constitutionnelle (aurait-on idée de parler du « service public du gouvernement » ou du « service public du parlement » ?!…).