M. Bayrou va donc rejoindre la galerie de portraits des ex-gardes des sceaux au rez-de-chaussée de l’hôtel du ministre, place Vendôme.
En toute justice, il ne devrait avoir droit qu’à une miniature, eu égard, tant à la brièveté exceptionnelle de son passage qu’au désintérêt à peu près total dont ce chef de parti politique, qui avait ses priorités et ses préoccupations ailleurs, aura fait preuve pour les questions touchant l’institution judiciaire.