On assiste, depuis le décès d’un jeune délinquant -coutumier, semble-t-il, des refus d’obtempérer, entre autres méfaits-, au déchaînement d’une véritable hystérie anti-policière dans certains milieux, complaisamment relayée par certains organes d’information et cautionnée par l’attitude et les propos indignes autant qu’ irresponsables d’une partie de la classe politique et des plus hautes autorités de l’Etat -jusqu’à l’Assemblée nationale, qui aura cru ainsi devoir rendre au défunt un hommage exceptionnel que bien des victimes du crime, policiers, gendarmes et autres citoyens, eussent amplement mérité aussi…