On nous avait promis, avec l’élection de M. MACRON, un « nouveau monde », où la « vieille politique », avec ses acteurs d’un autre âge –celui de nos « grands-mères » et de leurs « anciens francs », comme le disait l’un des ministres transfuges de son camp, avec le zèle sans nuances des convertis de très fraîche date-, et ses sombres « affaires », témoignant de mauvaises mœurs révolues qu’on allait passer au Karcher d’une moralisation à marche forcée, ne serait plus qu’un mauvais souvenir…