C'est la loi du genre. Lors des alternances politiques, les vainqueurs abrogent les lois votées par les vaincus, surtout si elles étaient emblématiques.
C'est la loi du genre. Lors des alternances politiques, les vainqueurs abrogent les lois votées par les vaincus, surtout si elles étaient emblématiques.
On a le sentiment que, depuis un an, le sexe et ses cinquante nuances (de bleu, rose ou panaché…) est la grande affaire qui obsède nos gouvernant(e)s, comme si notre pays n’avait pas de plus grande priorité que de s’interroger sur la traduction juridique du rapport des personnes à leur sexualité…
Dans le torrent d’indignations que provoque ce placardage inadmissible dont des magistrats sont les auteurs, je relèverai en particulier sur ce « mur des cons » la présence de parents de victimes ce qui constitue une insulte impardonnable à la mémoire de ces enfants assassinés.