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Alors que, de jour en jour, s'accumulent les révélations sur les mensonges, tricheries et faux qui auront permis à une famille en situation irrégulière de demeurer sur le sol français et jouir de tous les avantages d'un statut si généreux –illustration jusqu'à la caricature des dérives du droit d'asile-, l'attitude des pouvoirs publics dans ce que l'on se refuse à appeler « l'affaire Léonarda » -pour ne pas ajouter au ridicule et à la honte qu'ils jettent sur notre pays en se mettant en transes pour cette collégienne et le cas, aussi minuscule qu'indéfendable, dont elle est l'aberrante héroïne-, ne peut que consterner ceux qui ont le moindre souci de l'honneur national, de la dignité des fonctions gouvernementales, et, du respect de l'Etat de Droit :

Quelques réflexions sur l'affaire du bijoutier de Nice mis en examen pour homicide volontaire et placé sous surveillance électronique -décision qui suscite une très forte incompréhension et indignation dans l'opinion-, alors que, sans antécédents judiciaires, dans un métier à risque qui paye un lourd tribut au crime, il avait été braqué et frappé par deux hommes armés, sur lesquels, quand ils s'étaient enfuis à scooter leur forfait accompli, il avait tiré, tuant l'un d'eux, multirécidiviste ; étant observé qu’il ne s’agit pas, bien entendu, de critiquer une décision de justice, sur un cas d’espèce dont on ne connaît que les éléments publics, mais, de s’interroger d’une façon plus générale sur une question récurrente qui trouble nos concitoyens.

La note que vient d’envoyer le Ministre de l’Intérieur au Président de la République et la réponse que la Garde des Sceaux vient également d’adresser au Chef de l’Etat démontrent, non seulement un désaccord violent entre les ministres mais surtout des divergences profondes quant à la lutte contre la délinquance dans notre Pays.

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