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                L’implication dans le viol et le meurtre d’une adolescente à Nantes d’un homme sorti de prison depuis peu, après une condamnation à 18 ans de réclusion criminelle pour une série de viols, suscite l’incompréhension et l’indignation de nos concitoyens, prompts à mettre en cause –comme toujours en pareil cas-, le fonctionnement de la Justice –en oubliant que ce ne sont pas les magistrats qui font les lois qui permettent ce genre de faits, mais, leurs élus.

Comme il était, malheureusement, archi-prévisible -et annoncé-, le Conseil (in)constitutionnel a mis en charpie la loi qui prévoyait -même encore trop timidement-, d’imposer un contrôle aux personnes condamnées pour des faits de terrorisme après leur sortie de prison.

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